Réunion annuelle OPTMix, 10, 12 et 13 janvier

La réunion annuelle OPTMix a eu lieu les 10,12 et 13 janvier. Les participants ont présentés les résultats récemment obtenus dans les différentes tâches du projet ainsi que le programme des actions futurs.

 

Faits marquants pour 2016

Le jeune dispositif OPTMix fonctionne maintenant en routine pour les mesures récurrentes (microclimat, dendrométrie, biodiversité et dynamique du sous-bois), mais continue à s’équiper et s’ouvre à de nouvelles collaborations. Ainsi, en 2016, une station météorologique de référence en forêt domaniale d’Orléans, mais hors couvert, a été installée en collaboration avec l’Office National des Forêts, et plusieurs projets avec des encadrements de thèse et masters ainsi que plusieurs collaborations ont démarré. On peut citer :

  • des travaux sur les impacts à court et moyen terme des ongulés sur la régénération de peuplements mélangés porté par A. Mårell (Irstea, Nogent-sur-Vernisson), faisant l’objet d’un projet soutenu par le ministère en charge de l’environnement, et de plusieurs stages de BTS ou Master ;
  • des échantillonnages en vue de travaux sur le cycle des éléments avec une étude sur les réserves glucidiques des arbres en collaboration avec l’Université d’Orléans (Cécile Barbaroux) ; et une autre sur la dynamique de la matière organique des litières en forêt d’Orléans avec l’ OSUC région Centre (Sébastien Gogo), qui feront l’objet d’un stage de Master chacun ;
  • des travaux sur la croissance des arbres en partenariat avec l’Office National des Forêts avec notamment une thèse, Jordan Bello (Irstea, Nogent-sur-Vernisson) ; qui a également réalisé un suivi écophysiologique pour étudier les effets de la sécheresse 2016 en collaboration avec université suédoise (SLU, Niles Hasselquiest) et l’INRA (Damien Bonal) ;
  • la caractérisation plus fine des arbres : d’une part leurs architecture avec un Lidar Terrestre en collaboration avec l’INRA de Nancy (Ignatio Barbeito) ; et d’autre part leur état sanitaire en collaboration avec l’Université d’Orléans (Aurélien Salé) et le Département Santé des Forêts ;
  • une étude sur la diversité microbienne des sols en collaboration avec l’INRA Dijon, GENOSOL (Samuel Mondy et Céline Faivre-Primot).

 

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